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ACHAT D’UN APPARTEMENT : CES FRAIS ANNEXES À INCLURE DANS LE PLAN DE FINANCEMENT

Vous pensez avoir trouvé l’appartement qu’il vous faut, mais êtes-vous certain de pouvoir vous l’offrir ? Déterminer le coût global d’un bien immobilier fait partie des étapes incontournables avant de signer tout document officiel, et il est loin de se limiter au prix de vente affiché. De nombreux frais annexes sont à prévoir. Quels sont-ils ? Combien coûte réellement un achat immobilier ? Voici un aperçu des postes à inclure dans votre budget pour ne pas vous retrouver sur la paille.

Les frais de notaire

Dans la majorité des cas, le prix affiché n’inclut pas les frais de notaire. Or, ces frais d’acquisition sont loin d’être un détail puisqu’il représente 8 % du prix de vente pour un logement ancien. Lorsque le prix du bien immobilier est très élevé, ils peuvent être abaissés à 7 %.

Ces frais comprennent les droits de mutation (5,80 % du prix de vente), aussi appelés « droits d’enregistrement », les émoluments de formalités et frais divers (un peu plus de 1 000 €), la contribution de sécurité immobilière (0,10 % du prix du bien) et enfin, la rémunération du notaire. Cette dernière est calculée à partir d’un barème.

Le coût du crédit immobilier

À moins d’avoir touché un héritage récemment, la plupart des acquéreurs contractent un crédit immobilier auprès d’une banque. N’oubliez pas qu’en plus du capital emprunté, il faudra rembourser les intérêts du crédit. Un conseil ? Faites le tour des banques afin d’obtenir le taux le plus bas. N’hésitez pas à comparer les offres des différents établissements. Certains pourraient vous « faire cadeau » des frais de dossier, par exemple : des frais supplémentaires dont il faut aussi tenir compte.

Qui dit crédit dit assurance emprunteur ! Son coût varie fortement en fonction de votre profil : âge, état de santé, profession exercée… Là aussi, n’hésitez pas à comparer et à faire jouer la concurrence.

La taxe foncière et la taxe d’habitation

Devenir propriétaire signifie aussi payer de nouvelles taxes. Parmi celles-ci, la taxe foncière et la taxe d’habitation. La bonne nouvelle ? C’est au vendeur de s’acquitter de la taxe d’habitation pour l’année en cours. Et la taxe foncière ? Malheureusement, vous n’y échapperez pas. La poire est coupée en deux : son coût est réparti entre vous et le vendeur. Chacun d’entre vous payera au prorata de l’occupation durant l’année de l’achat.

La provision pour le fonds de roulement des charges

En achetant en copropriété, vous devrez mettre la main au portefeuille pour remplir le fonds de caisse. Lors de l’achat, chaque copropriétaire est en effet invité à verser une provision pour le fonds de roulement des charges. Grâce à cette avance de trésorerie, le syndic dispose de liquidités pour payer les travaux courants au plus vite.

Les charges de copropriété

Chaque mois, vous devrez débourser plusieurs dizaines – voire centaines – d’euros supplémentaires pour payer les charges de l’immeuble. Pour estimer ce coût, renseignez-vous sur les honoraires du syndic, les frais d’entretien des communs et des extérieurs… Demandez également le procès-verbal des dernières assemblées pour avoir un aperçu des travaux votés, réalisés, rejetés ou en discussion. Dernier conseil : lors de la visite de l’appartement en vente, visitez également les communs. Vous pourrez ainsi vérifier l’état de la chaudière, des ascenseurs, etc. La note peut rapidement grimper si l’immeuble et ses équipements sont vétustes.

Acheter en VEFA pour limiter le poids des frais annexes

Pour réaliser des économies sur certains postes, l’une des options consiste à acheter un appartement en VEFA (vente en l’état futur d’achèvement). Dans le neuf, les frais de notaire sont moins élevés. Ils s’élèvent à – seulement – 2 à 3 % du prix de vente. Faites vos calculs ! Pour un bien de 200 000 euros, c’est jusqu’à 12 000 euros de moins à mettre sur la table. Les avantages ne s’arrêtent pas là ! En faisant le choix d’un bien immobilier neuf, vous pouvez être exonéré totalement ou partiellement de la taxe foncière pendant 2 ans.

À ces réductions à l’achat s’ajoutent toutes celles que vous pourrez faire par la suite. Car oui, à long terme, le logement neuf est bien plus économique. Isolation et orientation, agencement des pièces, placement des fenêtres… tout est soigneusement pensé pour limiter la consommation énergétique. Sans compter que tous les équipements sont neufs et sous garantie. L’idéal pour éviter les mauvaises surprises et les factures salées !

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